_______C'est le flou.

Et voilà, tout le monde est parti. Les uns en stop. Les autres en compagnie de leurs familles et moi, je suis là, à garder mes chats et arroser les plantes de mon jardin. Du jardin à ma mère plutôt. C'est presque pathétique. Changer de places toutes les deux heures l'arroseur automatique, changer les litières, les croquettes... Bouuuh, ça donne le cafard. Qui vais-je bien pouvoir voir vu qu'ils sont tous partis ? Vivement dans 20 jours. Ahhh, oui, vivement. Avant ça, je vais essayer de faire des découvertes musicales aussi et puis pourquoi pas, commencer mes cartons pour l'année prochaine. Et puis penser, méditer, se souvenir, sourire, en bronzant, en me baignant, en glandant, en regardant, et en voyant certains gens. Voilà, mon programme est fixé. Bonne semaine à vous. Moi, je sens qu'elle va être plus déprimante qu'autre chose. Enfin, ne nous plaignons pas, je suis une pétasse chanceuse, comme dirait l'autre, Lui. Une pétasse chanceuse qui a gagné un pass trois jours pour un festival. C'est toujours 50 euros d'économiser. Oui, c'est vrai, j'ai de la chance. En ce moment, j'ai le droit à tout ce que je veux. Tout ce que je veux....Vivement dans 20 jours.

Je n'aime pas être explicite.
J-20.

Comme on le dit si bien, le monde est petit. Le hasard fait bien les choses. Niark. :)

Et les concerts, et les concerts..... De Freedom For King Kong à Goran Bregovic, en passant par Patrice, les têtes raides et les hurlements de Leo. Que du bonheur. Je ne pourrais pas en dire plus. C'était tout simplement énoorme.

Et tous ces gens de notre bourgade. Hallucinant. Belle soirée sous une nuit agitée et pleine de rebondissements. C'est fou comme les gens peuvent se dévoiler quand ils sont, disons-le, alcoolisés ou ' déchirés '. Du film pornographique à ' Putain,si elle habitait Rennes ', en passant par ' J'te dis, c'est un signe. On se croise à tous les festivals.Et on est toujours à côté. ' Bref, ça aussi, que du bonheur. Et l'autre qui me dit que j'ai l'air extrêmement heureuse. Ba oui, je l'étais et je le suis toujours.=)

Et il y eut une énorme lévitation. Pourtant, c'est bizarre, au début, j' aurais aimé mais à la fin, non, pfffuut, oublié. Mais malgré tout, je trouves ça dommage... Enfin bon, mouarf, tanpis.

Profitons.

C'est ce soiiir. :)
Et demain aussi.

Ce week-end, ce sera Sex, Drugs and Rock'n roll.
Surtout Sex and Rock'n roll.Peut-être que rock'n roll en fait.
Pressée de sentir ce bonheur m'envahir.

En espérant une chose, pas de lévitation.

Je reviens tranquillement me poser devant mon ordinateur et je vois qu'il va là-bas. Mon plus grand rêve. Celui que je veux réaliser depuis belle lurette. Cette ville où j'aimerais habiter, du moins, y mettre les pieds durant cette semaine de folie. Cette ambiance pour qui j'avais craqué dans ma région favorite. Cette région où je veux habiter plus tard. On a tous des rêves de gosses. Moi, c'est habiter au pays basque. La viiille de Bayonne en est le symbole même si elle n'y est pas forcément située. Elle représente cette jovialité des habitants.Cette manière d'être toujours souriant.Cette façon d'être fiers d'être basques. Cette fête, c'est LA fête entre tous. Pas de chichis. Le seul mot à l'ordre de cette semaine, c'est : "Amusons-nous et partageons." Jets de tomates et tuerie de taureaux(j'en suis peu favorable mais bon...). L'année prochaine, je veux faire de la pelote basque. Pouvoir rentrer dans un trinquet comme bon je le veux. Il faut que je me renseignes. Oui, mon plus grand rêve, c'est habiter au pays basque pour avoir ni trop chaud, ni trop froid.Pour pouvoir me baigner en été et skier en hiver.Pouvoir me balader non-chalemment dans les landes. Et les villages, et les paysages......

Peut-être est-ce un signe que d'aller cette année à Bordeaux. Je me rapproches de plus en plus de la concrétisation de mon rêve.
L'espoir fait vivre.

Tout me paraît superficiel. Pourtant, tout me paraît existentiel. Et ce que je raconte n' a aucun sens. Mais aujourd'hui,  j'écris parce que j'en ai envie. Hier, ça faisait longtemps. Une soirée comme ça avec des gens que je ne fréquentes pas toujours. Tout le plaisir était pour moi. Des tartes au gâteau, des cocos kinders au coktail Made in Môsieur, de Saya ..Supa Crew à ce que je ne me souviens plus.En bref, de tout ça à ça. Paraîtrait que je parles peu quand je reviens totalement à moi mais que mes paroles sont trop frivoles. Excusez-en moi. Toujours est-il que je l'ai encore dit et que ce n'est pas bon signe. Il semblerait aussi que ce soit ambigu. On m'expliquera cela. D'ailleurs, il faut que je lui écrives.

Dans tous les cas, en soirée, je ne contrôles plus du tout mes sens.
Sinon, c'est demain.

Une journée banale est quelque peu ennuyante. Hier, c'était bien. Retrouvailles avec Lui. Ce fut bien sympathique ma foi ( Ne souries pas trop derrière ton écran.Je te vois d'ici.)Puis après cette soirée. Mais aujourd'hui, c'est le retour à la glandouille. Retour à l'informatique. Retour à la série de 16h30. Retour de la merde, en fait. Putain, shit, c'est fou comme je me fais chier toute seule. Je me demandes bien comment je ferais l'année prochaine. Toute seule. Alone in the darkness of the world......

Ah, téléphone.//Rien de bien important.Tout comme ce que j'écris.Ainsi va la vie.

Dessin rapide réalisé le 23 juillet.

Sous peine d'être condamnée plus sévèrement, j'avoue ma faute (?) rapidement.
Et dans quatres jours, je profiterais de l'opportunité.

Pour ceux qui me découvre par Canalblog, avant, j'étais ici .Et je le suis toujours.

Il y a des limites à la connerie. Il y a des choses qui ne devraient pas trop être entendues. Aujourd'hui, j' ai cru halluciner. Mais non. L' Etat a encore décidé de surtaxer certains produits. Les produits concernés sont les sodas, etc.... Après le tabac, ce sont les produits qui font grossir. Toujours cette soi-disant ' lutte ' pour la santé du consommateur. Peut-être que l'augmentation du prix du tabac a freiné certains consommateurs. Mais augmenter de 10 centimes le prix d'un soda ne freinera pas les euro-americains à satisfaire leurs envies de sucre. Et puis, d' accord, l' Etat a besoin d' argent. Mais qu'en advient-il ensuite ? ' La sécurité sur la route '. Chapeau bas, messieurs. Mais maintenant ? Allez donc dans mon école primaire et remarquez le travail qu'il y a à faire. Les professeurs sont obligés de mettre des seaux dans les classes parce que les toits fuient. Tandis qu' à 20 mètres de là, dans une écolé privée, tout est flambant neuf. Chacun devrait avoir le droit à une scolarité convenable. Et je pense que l' argent que l' on verse dans la caisse nationale devrait revenir à la jeunesse avant tout. A ces universités et ces chômeurs qui en sortent. Car, oui, vous acceptez grand nombre d'élèves dans un seul domaine universitaire mais seulement 10% ensuite arrivent à trouver un travail convenable. Est-il normal de dire qu'avec le bac, tout est plus facile ? Faux. La galère arrive bien après. Bien après ces études que chaque étudiant choisi selon ses goûts. Car chacun veut faire ce qui lui plaît. Et les métiers de l' artisanat qui régressent. Ily en a des postes là-dedans. La solution que vous trouvez à cela ? Embaucher en Pologne ou dans les pays sous-développés. certes, nous devons aider ces populations. Mais vous devriez tout d' abord regarder ici. La faute revient à vous, chers politiciens. Oui, car c'est vous qui nous formatez pour nous faire rentrer dans le vice de la ' normalité ' . Mais peut-être devrions-nous retourner un peu en arrière et réapprendre aux môsieurs la maçonnerie et aux mademoiselles la couture. Cette image est exagérée, très certainement. Mais elle montre bien ce que je pense. Retournons un peu dans le passé pour se réapproprier les valeurs qui me paraissent les meilleures. Le retour aux valeurs, comme on dit par chez moi et peut-être par chez vous.

Peut-être me suis-je mal fait comprendre mais peu importe. J' ai désormais la tête reposée.

A bon entendeur, bien sûr.

Encore un petit 'chez-moi'. J'ai toujours ce besoin d'aller voir ailleurs. Comme dans la vie réelle d'ailleurs. Toujours ce besoin de rencontrer, découvrir de nouvelles choses. Sûrement que l'année prochaine, ce sera l'apothéose. A Bordeaux, cet endroit que je ne connais pas et où je ne connais personne. Cet endroit que j'ai trouvé magnifique. Cet endroit que j'aimerais découvrir en la compagnie de mon prince charmant. Oui, le rêve me mène par le bout du nez. Peut-être que je suis trop naïve. Mais il est vrai que je m'imagines main dans la main avec lui, marchant, sourire aux lèvres, à travers ses rues ensoleillées. Mais le fait qu'il se réalise est minime. Car je m'imagines toujours avec cette personne et pourtant, je sais que c'est impossible.Et je recommences à parler de ça. Je m'étais promis un endroit où nulle part ce sujet n'apparaîtrait. Et vlan, dans les dents. J'ai trop cru, moi. En fait, non, ce rêve, je ne veux pas qu'il se réalise. Car je n'imagines qu'une seule chose.Soyons bref. Juste être allongés dans un champ de blés sous un ciel étoilé. Complètement utopique, me diriez-vous. Pourtant, je l'ai déja fait et c'est le pied. Si ça avait pu être...Etre quoi, qui ? Stop. Les illusions, c'est fini. Ici,commence le réalisme de ma vie. C'est-à-dire, très certainement, une vie monotone sans forcément grand intérêt.Mais qui, peut-être racontée et illustrée d'une manière différente, vous charmera.

Et vlan, c'est reparti par ici.
Sachant aussi que le 1er août, je me coupe les cheveux à la garçonne.